Écrire pour oublier, pour s’oublier peut-être un peu, aussi. Mettre un peu d’ordre à ses pensées, essayer. Se rendre compte que les mots sont les mêmes. Cercle trop vicieux qui s’acharne, qui épuise.
Fatigue.
Et apparaît cette lueur, puis une autre, plus belle encore. Celle qui ne peut empêcher les douleurs de ce corps qui semble s’éteindre, mais celle qui permet de se découvrir, de poser un autre regard sur toute une vie. C’est précieux, mais violent. Envie, besoin de son corps près du mien.